Habitant·es d’un paysage blanc en constante transformation, sept interprètes tissent une chorégraphie de gestes curieusement familiers. Sur une composition musicale originale de Karl Naegelen, aux prises avec l’espace morcelé conçu par l’artiste Thea Djordjadze, les danseuses et danseurs combinent, recomposent le mouvement, dans un jeu de va-et-vient entre le visible et l’invisible.
« Ce que je cherche, c’est perdre la familiarité qu’on a avec le mouvement pour pouvoir en apercevoir autre chose. »
Propos échangés avec Marie Richeux – Par les temps qui courent, France Culture.
Prochaines dates :
9 février, Scène Nationale d’Orléans – Orléans
15-16 février, Théâtre de la Cité, Festival ICI & LA – Toulouse
2 mars, Schouwburg Kortrijk – Courtrai